Surfant sur la vague ^^ J'me suis carrément créer un perso xD
Takezo Shinmen :
Lorsque j'appris à manier le sabre il était déjà trop tard. J'avais vu le jour en une époque qui ne désirai plus les gens tel que moi. La société m'avait fait comprendre que la facon dont j'appréhendais la vie était anachronique et en totale opposition avec les changements à venir. Les hommes portant le sabre se faisaient rare.
Ma famille était ancienne, conservatrice. Mon pére ne pouvait comprendre ce qui se passait, il pensait que ce qui advennait de notre pays n'était qu'une crise passagére. Je le comprend et je ne le blâme pas, il m'a donné la meilleur éducation possible selon l'ancienne mode dans laquel la voie du samourai est tout. Mais cette voie était devenu invivable, il était impossible de vivre du sabre en restant dans l'honneur. Plus aucun des grand seigneur, animaux politique par excellence et qui avaient tout à fait saisie ce qui arrivait, ne voulait d'un homme se référant à un code de l'honneur vieillissant. Bien conscient que l'éducation de mon pére ne me servirait plus j'ai décidé de quitter la maison, de tenter ma chance ailleurs.
Lors de mon voyage j'ai rencontré de nombreuse gens qui avait tous une histoire touchante mais deux d'entre elle ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui. La premiére était un étranger plutot étrange que j'ai rencontré à Nagazaki, il se présentait comme un artiste incompris par son temps. Cétait amusant lui penser être né deux siécle trop tôt et moi deux siécle trop tard. Peut être que c'est ca qui nous à fait nous rencontrer.
Je m'étais arrété dans une auberge mal-fréquenté par faute d'argent, lorsqu'il entra l'atmosphére devint plus tendu. Quatre étranger dans un quartier où il n'avaient rien à faire. Les autres clients lancaient des regards en coin et souvent mauvais, j'essayé de ne pas faire attention aux nouveaux arrivants, continuant tranquillement de boire en espérant qu'il ne se passe rien.
Mais il s'asseya juste à côté de moi. Alors que ses trois compagnon se mettait à une table plus loin posant de maniére bien visible leurs pistolets devant eux. Il s'exprima dans ma langue mais avec un accent étrange, il me fit comprendre que de toute la bande je devais être le plus sympathique et qu'il souhaitait attendre en ma compagnie son ami. Ne voulant pas causé de probléme je l'invita donc à partager ma cruche de saké. Il me remercia et souria. Et il commenca à me parlait, de son pays tout d'abord et des différences qu'il trouvait amusantes. Alors qu'il me parlait je le regarda plus en détails. Et ca me sauta alors aux yeux : cette homme est dangereux.
il était plus grand que moi, d'au moins une tête ses cheveux chatain clair et trés fin dans une coupe étrange, il était fin mais quand même plus imposant que moi à causede sa taille. Il était habillé étrangement mais je n'avais pas compris à l'époque toute l'importance de son code vestimentaire. Il avait comme ses compagnons un pistolet à la taille, mais lui avait aussi un sabre occidental.
Je ne sais pas trop pourquoi, sans doute pour que tout se passe bien, je me suis mis à lui parler de moi. En comprennant ma situation il ria et dit que c'était pareil pour lui en un sens. Il était au japon parce qu'en europe il passait pour un excentrique mais que comme ici tout les étrangers semble excentrique à la population local ca passait trés bien. Il souria est se leva, une trés belle femme se trouvait dans l'encadrement de la porte d'entré, il me remercia pour la compagnie et quitta l'auberge en compagnie de la belle. Ses compagnons restérent encore un peu puis les suivir. Je ne sais pas pourquoi je suis sorti aussi, mais je pense que j'ai bien fait aprés coup.
Alors que je marchais dans la rue, je fut dépasser par des policiers. Intrigué je me mis à les suivre. J'arriva ainsi à l'entré du port, les policiers restaient planté là sans bouger, l'homme de tout à l'heure leur fit un signe de la main, puis tendit le poing devant lui en relevant son majeur, puis il les salua et reparti tranquillement. Les policiers pestérent puis repartir.
Personnelement je ne voyais pas pourquoi ils s'étaient arrété, alors je décida de continué.
un peu aprés je compris, autant dans la journée tout se passe bien, autant la nuit il y a une étrange faune qui campe prés des quais. Sans comprendre comment je me retrouva avec un sac sur la tête et pousser en bas du quai. Lorsque j'essaya de me débattre je pris un coup violant sur le crâne et je sombra.
Je me réveilla malade. L'homme était là, le femme aussi. Il me regarda et souria. Je me leva un peu et m'apercu que j'étais de toute évidence sur bateau, tout tangué et j'ai toujours eu le mal de mer. D'aprés la décoration et l'arrangement c'était de toute évidence un navire étranger. L'homme me disa qu'il savait pourquoi je le suivait, il me disa qu'au fond j'était un peu comme lui et que c'est pour ca qu'il ne m'avait pas fait tuer. Et si j'acceptais de l'aidé alors je deviendrai riche, mais qu'au contraire si je refusai je serai recondui sur la terre ferme et comme il dit "au revoir".
J'accepta...
Marais était un pirate. Il avait piller des centaine de navire anglais et espagnol, mais ca l'avait lassé. Il avait passé un accord avec le gouverneur des antilles et on ne le pourchassé plus et il faisait passer des oeuvre d'art nippone en France ou elle était revendu auprés des bourgeois interesser par la fascinante culture de mon pays. Seulement les autorité locals pour une raison obscure ne semblait plus vouloir de lui malgrés les sommes importantes qu'il versait pour qu'on le laisse tranquille. C'est alors que Maï Ime entre en scéne, c'était une chinoise mais son japonais était parfait. Elle jouait le rôle d'une marchande d'art, elle faisait chargé les oeuvres sur des bateaux faisant la navette vers Kyushu et c'était là que Marais les attaquait, prennait la marchandise qui l'interessait et laisser les navires repartir aprés sans encombre. La combine était bonne vue que les autorité portuaire touché leurs part du gateau et pareil pour les capitaines qui touchaient un dédomagement pour l'attaque. Marais me proposa de l'aider lors des 'attaques' car il était le seul de ses hommes à parler japonais et un ce serait plus pratique si je pouvais faire comprendre aux passagers qu'il ne risque rien.
J'accepta... Mon pére en serait devenu fou...
Pendant six mois tout ce passa bien. Mais un jour le navire que l'on attaqua était en fait rempli de policier. Cela tourna au carnage... Les hommes de Marais était des marins accomplis qui étaient passer par des dizaines, des centaines, de bataille... Néanmoins ce qui me stupéfia le plus était la maniére dont se battait Marais. Je n'avais jamais vu ca, son sabre et son pistolet n'était la que pour la décoration, ses mains était des armes beaucoup plus mortel. Ses yeux semblait empli d'une folie lorsqu'il se battait...
Le lendemain je lui demanda s'il pouvait m'apprendre sa technique. Il me dit qu'elle avait été inventai par son arriére-arriére-grand-pére... Mais qu'on s'en moquait un peu et qu'il n'y avait pas de probléme.
C'était une technique toute simple qui jouait sur la contre-attaque uniquement.
Au début chacun de mes coups était paré.
Il m'expliqua que tout résidait dans la capacité de 'casser' son mouvement et de le reprendre plus tard. En fait il portait le coup changer brusquement, et le reprennait dans une direction différente. Toute la difficulté était de reprendre assez rapidement de la vitesse. Aprés il fallait deviner les mouvements de l'adversaire, mais ca c'était tout le temps pareil : la position du buste, des pieds et du regard donnait toute les informations.
Il me fallut prés de trois mois pour comprendre comment tout fonctionnait. C'était vraiment une technique interessante.
Un jour il me demanda si je voulais faire un combat pour voir ou j'en étais exactement, j'accepta bien entendu. Il commenca son mouvement et s'immobilisa comme d'habitude. Je devais faire mentir mon corps pour pouvoirs passer sa contre attaque, je commenca donc mais il se jeta par terre frappant au niveau de mes jambes. Par réflexes je sauta. Ses jambes firent une pirouette et me fauchérent en l'air. Je tomba sur le derriére, mais je du aussitôt esquiver : il continué son attaque. J'essaya de me remettre en garde mais rien y faisait à chaque fois il me déséquilibré et je tombais. Je décida de changer de style et je dégaina mon sabre. La situation s'améliora nettement, il n'essayait pas de contrer mes coups, il les esquivait. J'était plus rapide et je commencais à reprendre le dessus. Il se retourna et parti en sprint vers la proue du bateau, je me lanca bien évidement à sa poursuite. Un détail aurait du me mettre la puce à l'oreille : les autres membres déquipage rigolaient. Il sauta par dessus le bastinguage. Je fut pour le moins surpris. Ce que je n'avais pas vue c'était sa main s'accrocher à la rembarde. Je m'approcha du bord, et je me pencha lentement par dessus. Il me fouta un coup de pied au cul qui m'envoya valdinguer par-dessus le bord.
Aprés ca il me fit travailler avec Maï, c'était une trés belle femme, mais mortel aussi. Lors d'une bagarre de bar je la vis mettre au tapis plusieurs hommes sans le moindre effort apparent. Ses coups était vifs et précis, visant les points vitaux et les articulations pour mettre hors d'état de nuire le plus rapidement possible. Mais Maï ne fut jamais une amie, elle restait toujours froide est distante. Une fois nous nous enfoncâmes dans les terres pour aller à la rencontre d'un sculpteur.
Il y avait eu de nombreux orages dans les semaines de notre voyages et la plupart des riviére était en crue. Cependant nous devions respecter les délais fixer par Marais.
Alors que nous traversions une riviére, Maï me dit que Marais avait l'intention de quitter le pays. Cela devenait trop dangereux, il retournait dans les antilles. Par contre j'avais selon elle était reconnu lors d'une attaque de navire et que j'étais suivie. Apparement les autorité espérait que j'allais les mener à lui. Marais lui avait demandé de me tuer.
Elle m'annonca cette nouvelle avec une telle froideur que je ne réagissa même pas. D'un coup de paume elle me fit tombé à l'eau et me regarda disparaitre dans les flots.
Je me réveilla en vomissant de l'eau. Je ne savais plus quoi faire. J'étais vraiment un criminel, et le seul qui pouvait me protéger me voulait mort.
Je ne sais pas ce qui me fit reprendre ma route mais je me dirigea vers toujours plus vers l'intérieur des terres, montant vers le nords du pays.
C'est en prennant un bac pour traverser une riviére que je fit sa connaissance. C'était un vieu samurai qui vivait mal les modifications culturelle du pays, il avait rejoind l'arriére pays ou les choses allaient plus lentement et ou il espérait pouvoir mourrir tranquillement loin de tout. Nous continuâmes notre chemin ensemble.
Un soir que j'avais trop bu, je lui raconta mon temps sur le navire de Marais et les attaques menait... Il me dit qu'il comprennait que les temps faisait faire des choses stupide au gens. Il demanda si ca me génait de quitter l'auberge dés ce soir, il avait entendu d'un des clients qu'une source d'eau chaude était situer dans la vallée aprés le col et que nous y serions sans doute mieux.
Nous avancions dans la montagne, lorsqu'il s'arreta. Il se retourna vers moi et me tendit un papier. Il y avait mon visage et une récompense. Je redressa les yeux vers lui, il avait ses mains sur la garde de son sabre. Je me mis moi-même en garde.
Notre échange me rappela je ne sais pourquoi le tend ou je m'entrainais avec mon pére. Ses coups était vifs et il était bien meilleur que moi. Il fit une étrange passe de la main, son sabre pouvait aussi bien venir de la gauche que de la droite, je ne savais pas.
Il essuya son sabre et le rengaina. J'était mort.
J'avais imaginer la vie aprés la mort différente. J'était dans une ville qui me semblait familliére, les gens était pareil qu'avant... Bref a part les shinigami rien de nouveau. Longtemps je me suis demandé si je pouvait retrouver Marais ici, mais j'abandonna mon idée il vallait mieux essayer de continuer à aller de l'avant. J'avais apris quelque chose de ma vie. J'avais vécu tirailler entre l'envie de suivre la voie du sabre et l'impossibilité qui résultait de l'évolution culturelle. Mais ici ce n'était pas le cas. Tout était intemporelle, et je pensais que tout cela pourrait être possible. Je savais être doué au sabre, mais je savais aussi avoir de grande lacune. Je devais les comblé si je voulais aller de l'avant. C'est pour cela que je postulat pour devenir shinigami, dans leurs académie je pouvais compléter ma formation au sabre en compagnie d'être qui avait existé depuis, qui sait... Le détail que je n'avais pas saisi c'est que la maitrise du sabre n'est pas le seul élement déterminant dans la progressio, il fallait aussi apprendre à utiliser leur autre art de combat. Je n'y était pas trés doué. Heuresement je m'apercu vite que la plupart des aspirants shinigami avait eu des vie paisible et que c'était leur niveau d'énergie spirituel qui les avait fait incorporé l'académie. Je n'ai jamais compris leurs systéme de quantification, je savais avoir une bonne réserve, ca me suffisait. J'était bien plus fort au sabre que les autres, en fait à part le maître je battait tout les gens de ma classe, et des autres de mon années, et même ceux qui était dans là depuis plus longtemps que moi. Ce dont que j'avais en fait sous exploiter toute ma vie, me conforta un peu plus dans l'idée que j'étais né trop tard, que n'aurais je pu faire si j'avais suivi l'instruction des dojo des grand maître du passé ? Je ne mentirais pas je sais que c'est uniquement grâce à ma technique au sabre que j'ai pu devenir shinigami. Je ne suis pas doué dans les arts purement spirituel. Mais au final le résultat était le même.
Ce fut ce que je fis par la suite qui plongea nombre de mes amis dans la perpléxité. Je n'avais jamais voulu être shinigami, je voulais juste profiter de leurs enseignement. C'est pourquoi lorsque je refusa d'entré dans une division du Gotei 13 et que je continua mon chemin seul mes amis se détournérent de moi. Devenir des shinigamis étaient leurs rêve, mais ce n'était pas le mien. Je voulais juste vivre selon la voie du sabre. En quelque sorte je continuais à aller à contre-courant.
Je reparti donc suivre ma voie. Seul avec mon zanpakuto.
Ame'garu fut mon seul compagnon pendant des dizaines d'années. J'ai parcouru la soul society dans les sens possible est imaginable, j'ai traversé tout les quartiers et même voyagé dans les alentours. Il y eu des combats oui, mais ils furent rares, il y eu aussi de nombreuse rencontre et j'appris beaucoup.
Je perfectionna aussi ma maîtrise du sabre. Je savais qu'un zanpakuto est plus qu'une simple arme, c'est en quelques sortes une idéalisation du sabre, il provient de sa propre âme. Ame'garu est le samurai que j'aurais voulu être, c'est mon rêve d'enfant. C'est sans doute à travers cette compréhension qu'il pu se matérialiser devant moi. au début c'était rare, mais aprés cela devint une sorte d'habitude. Il est agréable d'avoir un compagnon d'arme. Ce battre seul est lassant, mais je n'étais jamais seul. Nous nous sommes entrainés longtemps Ame'geru et moi, trés longtemps. Et lorsque nous avons pousser notre technique de combat jusqu'a sa perfection nous avons alors décidé d'un commun accord de mettre notre talent au service de quelque chose. Et c'est pourquoi nous sommes retournais voir les shinigami. Il s'était écoulé prés d'un siécle, les temps n'avait pas beaucoup changer. Lorsque je me présenta à l'entré ils eurent d'abord une certaine rétissence, mais finalement j'eu droit de devenir un shinigami.
Peu de temps aprés notre incorporation, Ame'garu et moi nous nous sommes rendu compte que nous étions d'un tout autre niveau que la plupart des autres. Mais nous ne sentions pas l'âme d'un chef, nous avons décidé de rester de simple shinigami. Laissant les grades à ce que cela interessé.
Peut être un jour.
Mais pour le moment éliminé les hollows nous suffit largement.
Caractéristique technique du zanpakuto :
nom : Ame'garu
Ame'garu est un samurai qui donne l'impression d'avoir essuyer une forte averse juste avant d'être arrivé. Il dégouline toujours d'eau de pluie et ses vêtements sont toujours trempé.
Shikai : De l'aube au couchant. Certain vivent, D'autre combattent comme des samurais
Lors du shikai et du bankai de l'eau ruisselle lentement de ou des lames d'Ame'geru et à chaque coup de petites goutellettes d'eau sont projettées.
La lame d'Ame'garu peut voyager à travers le vide pour ressortir plus loin. Annulant ainsi les avantages lié à l'allonge, évidement on peut difficilement porter un coup depuis un endroit qu'on ne voit pas et sa limite de porté et donc visuelle. De plus la lame suis le même mouvement que le coup initiale mais pas forcément la même direction.
Bankai : Du couchant à l'aube. D'autre blessent, Certain meurent comme des samurais
Lors du bankai il se met à pleuvoir. Effet spécial météorologique qui donne de suite un certain style au combat.
Tout comme dans la tempête il n'y pas qu'une goutte d'eau, il n'y a pas qu'un seul sabre.
Ame'geru disparait, mais en échange des lames de sabres peuvent apparaitre à volonté n'importe ou à la surface de la peau et ainsi jaillir dans n'importe quel direction.
L'apparition des sabres n'est pas automatique, il faut vouloir que le sabre apparaisse et jaillisse donc si on ne sait pas où est comment le faire apparaitre ben on se prend le coup tout simplement. Il faut donc avoir une bonne représentation spatiale (pour éviter de s'auto-empaler sur ses sabres et bloquer les coups adverse) et pour prévoir la trajectoire des coups adverse.
Contre un adverse utilisant des pouvoirs genre élémentaire et autre (je pense a ce qui grignotte l'adversaire à distance par exemple) ca perd pas mal en utilité...
Ps : désolé pour les fautes mais j'ai pas word moi :o J'espére que ca ne gachera pas la lecture cependant :?
Quel serait votre zanpackto?
Modérateur : Modérateur
l'apprenti assassin de Robin Hobb ne ferait pas partie de tes inspirationO-nii-chan a écrit :Non cela n'a rien à voir
Mon personnage est un mix entre différents personnages d'un roman !! Mais j'ai complètement inventé son histoire par contre !!
je pensai qu'il ne fallait pas spoiler loladrienol a écrit :pas mal
elle est quoi la petite copine de ton perso? (vizard?)
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D-kon
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Histoire de Taiyou no D-kon (D-kon du soleil en japonnais):
Je n'ai aucun souvenir du jour où je suis venu au monde et de mes premières années,
je me rappelle seulement vaguement de l'allure d'une personne portant un masque, qui m'aidait pour manger, alors que j'étais seul sur une île,
à l'âge de 5 ans.
C'était une île rayonnante, avec des plages de sables blancs ou jaunes, une mer émeraude et limpide,
aussi, je me suis vite débrouillé seul pour subvenir à mes besoins,
je n'avais pas le choix de toute façon,
et j'étais toujours reconnaissant envers la nature, ses richesses et sa beauté, ainsi que son énergie et sa puissance !
J'exploitait les bienfaits de la nature tout en la respectant ainsi que son équilibre,
mais ce qui me fascinait le plus c'était le soleil !
Cet astre brillant, brûlant, communiquant son énergie en permance, mais aussi pouvant causer des dégâts effroyable en asséchant des régions ou en incendiant des forêts !
Mais c'était grâce à lui que l'on pouvait voir le jour et ne pas rester dans les ténèbres éternellement.
Cependant, toutes les nuits n'étaient pas aussi noire qu'on pouvait le croire,
car la lune prenait le relais et étaient d'une beauté tout aussi remarquable !
Ce satellite naturel de la terre, paraissait pure avec sa lueur diffuse blanche, douce et moins agressive que le soleil,
on pouvait la regarder avec plaisir......
J'avais appris à parler avec la nature,
je ne connaissais aucun langage humain car vivait seul sur cette île magnifique,
mais je savais parler d'un langage universel et unique celui de mère nature,
et je fonctionnais en osmose, en harmonie avec le soleil, la lune, la mer, le vent et je pouvais savoir grâce à cela, à l'avance, quel temps il ferait, quel gibier je mangerai, quel saison on était.....
C'est ainsi qu'un soir de pleine lune,
alors que j'avais atteint ma maturité et était un homme adulte,
apparu devant moi une femme, aussi légèrement vêtue que moi, et que je n'avais jamais vue auparavant.....
J'avais beau ne pas connaitre le langage humain mais elle parlait le même que le mien !
Celui de la nature, le langage universelle, unique dans le flux du système qui équilibre l'univers,
elle me dit son nom: "Gekko no Luna" (Luna du clair de lune)
Le soleil qui était ma mère spirituelle, m'avait aussi donné un nom : "Taiyou no D-kon"
que je lui dis avec un naturel exhaltant.....
Je n'avais pas besoin de lui demander quoique ce soit,
je savais qu'elle était comme moi, un enfant de la nature, qui parle son langage,
et depuis ce jour nous vécurent toujours ensembles, côte à côte,
et la vie était plus belle....quoi de plus rayonnant qu'une femme si ce n'est le soleil et elle incarnait elle-même la lune.
Jusqu'au jour où des hommes débarquèrent sur l'île, ne respectait en rien son équilibre,
en massacrant plein d'animaux pour leur fourure,
en coupant des arbres, en créant des villages, et en bouleversant complètement notre vie.....
Néanmoins, j'avais appris tout comme ma femme que la nature est forte, et que son énergie dépasse l'entendement humain,
et c'est aussi tout naturellement, que cette énergie nous fut transmise mais sous forme d'un sabre,
nous ne savions pas que c'était un sabre, nous ne connaissions pas les armes humaines,
mais ceux-ci étaient divins,
le mien envoyé par le soleil,
celui de ma compagne aux yeux lumineux, par la lune.
Instinctivement nous les saisirent par leur manche et nous balyâmes l'air avec,
je venais de dégager des rayons solaires puissants avaient aveugler tous les occupants malsains de l'île,
alors que ma compagne avaient provoquer des marées, et la repousse des arbres, de la végétation, tout comme le font les cycles de la lune mais en quelques secondes au lieu de plusieurs années.
Après tout ce remue ménage l'île redevint calme,
nous avions deux nouveaux habitants sur l'ile Amaterasu mon sabre, et Tsukiyomi celui de Luna, respectivement déesse du soleil et dieu de la lune (dans la mythologie japonaise), avec qui nous discutions à nos heures perdues....
mais en ayant découvert récemment les agissements des humains,
avec cet exemple sur mon île,
je voulu partir en quête et je convainc ma femme (c'est la femme de ma vie même si nous ne connaissons pas la notion de mariage) afin que nous quittions note île afin de se servir de nos pouvoirs dans le but de rééquilibrer l'action néfaste des hommes sur la nature.
Certes, mais un jour,
durant notre voyage de purification, de renaissance et régénérescence de la nature, tout en restant le plus pacifique du monde tel mon île,
je ne pouvais pas tuer ou ôter la vie,
nous avons vu des hommes vêtus de noir qui se battaient contre des esprits mal tournés et ils se sont rendu compte que l'on pouvait les voir et qu'on avait des sabres sur nous, et nous demandèrent nos noms.
Ils disaient être des shinigami "divinité de la mort" dont le rôle est de purifier les âmes malsaines, ils avaient un but qui ressemblait au nôtre, portait des sabres divins comme nous et ils nous emmenèrent au Soul society.
Je ne voulais jamais me battre, ni ma femme mais un jour j'ai été obligé de protéger des enfants, d'un intrus et les shinigamis furent témoin de la puissance de mon sabre qui avait brûler les yeux de mon adversaire qui ne pouvait plus rien faire et souffrait d'un mal douloureux aux yeux tout en ayant perdu la vue, cela pour moi devait servir à justement ouvrir leurs yeux, car en ayant perdu la vue, ils pourrait mieux écouter la nature et son langage, en ouvrant les yeux de leur esprit....
Les shinigamis firent état au commandant de ce fait, et dès lors je fut nommé capitaine d'une division nouvelle, la division 14.
Mais un jour,
j'en eu marre des méthodes des shinigami et je décidai de m'exhiler avec ma femme et aussi mes plus loyaux soldats sur une île du ciel,
auxquel j'avais eu l'accès depuis ma montée au soul society en écoutant mon sabre vibrer vers une direction et dont j'avais gardé le secret avec ma femme, pour que personne ne la souille.
C'est ainsi que j'avais formé la division de la lumière du jour et de la nuit, j'en étais le capitaine et ma femme le vice-capitaine, tel le soleil et la lune.
Notre but n'était pas d'agir directement sur les esprits des morts mais plutôt d'aider la nature.
La prochaine fois la description du sabre de Luna
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O-nii-chan
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C'est clair que ton perso est complexe !!D-kon a écrit :MDR,
c'était indispensable :D
Mon perso est très complexe et fallait expliquer pourquoi il est pacifique 8)
D'ailleurs comme tousen, sauf que je vois et que je rends aveugle alors que lui est déjà aveugle
Ca c'est un adversaire de taille ban kaï obligé :mrgreen:
Et ton zanpakutô est classe aussi, il reprend bien les idées de ton perso !!
A quand la suite ??
la division 14 ne serait pas la division des vizard?
ben oui, apres tout, les hollows aussi appartienne a la nature
donc vous auriez pu devenir des vizard en ecoutant la nature
ben oui, apres tout, les hollows aussi appartienne a la nature
donc vous auriez pu devenir des vizard en ecoutant la nature
Vous êtes un Grossbill si :
-vous arrivez à boire deux chopes de bière naine sans tomber dans le coma alors que vous êtes un elfe.
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D-kon
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Non, on est pas des Vizards,la division 14 ne serait pas la division des vizard?
ben oui, apres tout, les hollows aussi appartienne a la nature
donc vous auriez pu devenir des vizard en ecoutant la nature
On est similaire à des shinigamis mais sauf qu'on est dans le domaine de la nature alors qu'eux sont spécialisés dans la mort des hommes,
nous on fait un peu de tout,
certes la mort fait partie de la nature mais ce n'est pas notre boulot principal de purifier des âmes on laisse ça aux autres même si cela nous arrive parfois :D
Et puis la division 14 a été dissoute après notre départ, on a une division de divinité indépendante. Mais comme les divinité de la mort(shinigami), ceux de la nature ont des zanpakuto,
d'ailleurs je viens de trouver une dénomination pour nous : "Shizenkami " divinité de la nature
Bon revenons à nos moutons avec une mise à jour des zanpakutos:
->Récapitualatif pour Amaterasu avec des modif minimes:
Taiyou no D-kon, Capitaine de la division de la lumière du jour et de la nuit:
Nom du Zanpakuto: Amaterasu (déesse du soleil dans la mythologie japonaise)¨
Libération du Shikaï: "Le soleil flotte dans le ciel, les rayons illuminent le firmament, les océans reflètent sa lumière et l'éblouissement fatal est irréversible"
Description du sabre en mode shikaï: Un sabre fin de lumière solaire qui éblouit tous ceux qui osent porter un regard dessus, une expostion de quelques minutes peut provoquer des brûlurs irréversibles des cellules de la rétine et donc provoquer l'aveuglement.
Le manche est bleu marine, et thermo-isolé, ce qui protège mes mains.
En agitant mon sabre des rayons solaires intenses sont émis dans toutes les directions,
je suis protégé de ses rayons car je suis un enfant du soleil (cf. mon histoire ^__^)
Etant pacifique à la base, le fait d'aveugler mes adversaires les paralyse, la douleur aux yeux est intense et demande plusieurs jours avant l'apaisement (sauf intervention médical)
Cela me permet de ne pas avoir à les tuer. En fermant leurs yeux physiques, cela ouvre aussi leurs yeux spirtituels et ils pourront écouter la nature et son langage universel.
Ban Kaï: Lorque la situation le demande ou que les adversaires résistent,
j'active mon Ban Kaï, la température augmente sensiblement dans les alentours, et le sabre de lumière éjecte des vents solaires directionnel selon ce que je vise;
ils vont complètement brûler tout ce qu'ils rencontreront sur leur passage car sont à la température du coeur du soleil soit environ 15 000 000 °C
->Pour Tsukiyomi:
Gekko no Luna, vice-capitaine de la division de la lumière:
Nom du Zanpakuto: Tsukiyomi (Dieu sélène (de la lune))
Libération du Shikaï: "La lune se révèle, les ténèbres s'estompent et la nature révèle son éclat, maîtresse des marées et des cycles de la nature, le clair de lune passe à l'action'
Description du Shikaï: Le sabre a la forme d'un croissant de lune affiné, le manche est noir et étoilé, avec un magnifique éclat de diverses couleurs tel le ciel étoilé. C'est un zanpakuto très complexe tout comme ses pouvoirs, tout dépend aussi de la situation et de l'endroit:
Si un cours d'eau est proche, des marées violentes se crée naturellement et sont guidés par le mouvement du sabre, cela peut provoquer des noyades mais la modulation de la puissance des marées permet à Luna de simplement immoboliser ses adversaires entre des courants puissants.
Si il y a un peu de terre, ce sont des plantes, des arbres qui pousseront ce qui handicape la mobitilité des adversaires, qui aura beau les coupers ceux-ci repoussent sans cesse sous l'action du clair de lune du sabre.
Un soir de pleine lune, le sabre est encore plus puissant qu'à un autre moment, le maitre gagne un peu en rapidité d'exécution.
Dans tous les cas et même dans un endroit sans terre, sans eau, le sabre a l'abilité d'exercer des force de gravité sur les adversaires, ils se sentent plus lourd et bougeront difficilement, cela en général suffit à Luna pour immobiliser, paralyser les adversaire sans avoir à les tuer. C'est une façon douce et moins agressive que le capitaine (qui lui brûle les yeux en toute circonstance mais il a ses raisons de le faire cf. l'histoire)
Ban Kaï: Si c'est la guerre, et que des adversaires très puissants arivent à contourner tout le shikaî grâce à leurs pouvoirs, la solution ultime du ban kaï consiste à conférer à Luna, la vitesse et la puissance d'un Loup-Garou. Pour se faire, le sabre se transforme en sphère telle la plein lune et restera en lévitation au-dessus de la tête de Luna, elle devient surhumaine tout en gardant son apparence couplé à la gravité cela lui donne un avantage non négligeable mais le seul inconvénient est de risquer de tuer ses adversaires inconsciemment en ayant une rage Bestiale.